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16 avril 2012 1 16 /04 /avril /2012 20:09

C'est l'heure du choix. Pour les candidats, plus que quelques jours de campagne pour convaincre avant le premier tour.

C'est l'heure aussi d'un premier bilan. Et à mesure que l'on approche de l'échéance, on se dit que cette campagne laissera un goût amer. Un goût amer en raison d'un candidat qui n'a pas joué le jeu. Et non des moindres, puisqu'il s'agit de celui du PS.

Il n'a pas joué le jeu, parce que les Français attendaient de lui qu'il propose, qu'il incarne, qu'il montre une capacité à rassembler, diriger, à être entendu et, conjoncture oblige, qu'il rassure sur sa capacité à affronter la crise avec courage et sérénité.

François Hollande, dans une posture attentiste, s'est dispensé de faire ses preuves. Il a préféré faire de l'antisarkozysme primaire son seul credo. Gagner à tout prix, et tant pis pour l'espérance.

Il a préféré souffler sur les braises des caricatures, pour ne pas dire des mensonges dans lesquels on a voulu enfermer Nicolas Sarkozy.

Trop proposer aurait été dangereux. Cela aurait révélé les contradictions internes et l'inadéquation entre l'idéologie du PS et les besoins de la France. Alors, critiquer est tellement plus facile.

Il a volé le débat d'idées que les Français attendaient. Parce qu'il craint la confrontation. Et quand Nicolas Sarkozy lui propose deux débats entre les deux tours, il préfère s'en tenir au minimum syndical.

Car François Hollande, c'est l'histoire d'un mec qui pense devenir président sans efforts et même sans emporter l'adhésion!

Mais on ne devient pas président de la 5e puissance mondiale par défaut. Cela se mérite. Adopter une telle posture, c'est mépriser les Français. Et c'est dire finalement: je ne promets rien, j'en fais le moins possible, et je croise les doigts pour que cela passe.

Pourtant, la campagne présidentielle, c'est un peu comme un entretien d'embauche. On n'embauche personne faute de mieux. Comme on ne devrait embaucher personne sur simple piston.

Car François Hollande est ce candidat par défaut: la machine PS, les militants et les sympathisants s'étaient préparés, enthousiastes, à élire un autre candidat. Il est aussi ce candidat "pistonné": pas l'expérience, pas la carrure, mais poussé par une famille politique lasse d'être à l'écart du pouvoir et qui revendique aujourd'hui le droit de l'occuper.

La France vaut mieux que cela. Car l'élection présidentielle c'est bien plus qu'un entretien d'embauche, c'est la rencontre entre un Homme et un peuple.

C'est cette alchimie qui fait l'étoffe d'un grand président. Cette alchimie, François Hollande n'a jamais réussi à la susciter.

Nicolas Sarkozy, lui, ne l'a jamais perdue. Il aime le peuple de France, il croit en sa grandeur et sa destinée. Et c'est dans cette relation privilégiée qu'il entretient avec les Français qu'il puise son énergie.

Comme dans toute relation forte et sincère, il peut y avoir des incompréhensions, et même des déceptions. Nicolas Sarkozy est un homme d'action, passionné, qui quand il a fait des erreurs a eu le courage de les reconnaître.

Mais il n'a surtout jamais cessé de protéger, défendre les Français et de vouloir restaurer la grandeur de notre pays. Il est de la lignée de ces présidents qui font la grandeur de la France.

Car Nicolas Sarkozy, c'est le courage, là où François Hollande nous propose l'indécision. Nicolas Sarkozy n'a jamais compromis l'intérêt premier des Français et n'a jamais reculé: la réforme des retraites, l'autonomie des universités, la réforme de la carte judiciaire, la réduction des dépenses publiques pour redresser le pays... autant d'exemples de réformes difficiles qui ont demandé des sacrifices, qu'il a fallu expliquer mais qui étaient nécessaires pour garantir un avenir serein aux Français.

François Hollande dans cette campagne a montré qu'il n'est sûr de rien. Sur le nucléaire, sur la fiscalité, sur la politique familiale, il a dit tout et son contraire dans une improvisation et un amateurisme hors pair. Ou alors il ne veut rien proposer, sur la sécurité par exemple, de peur de heurter les vieux idéologues sur sa gauche. Et tant pis pour les Français!

Nicolas Sarkozy, c'est l'expérience et le succès, là où François Hollande nous propose l'inexpérience et le déclassement. Nicolas Sarkozy est le président qui a permis à la France de garder la tête haute à travers plusieurs crises d'une violence inouïe. Et il est ce président qui restaure la France aujourd'hui, avec un déficit qui baisse bien plus vite que prévu.

Quant à François Hollande, toujours laissé à l'écart des gouvernements de gauche, on ne peut que parler du bilan de Président du Conseil général de Corrèze qui est aujourd'hui le département le plus endetté de France !

Dépenses publiques et impôts à tout va minant le pouvoir d'achat des classes moyennes, voilà la recette de François Hollande pour condamner la France au même sort !

Nicolas Sarkozy, c'est un leader naturel, là où François Hollande n'est autre que le candidat du plus petit dénominateur commun.

Nicolas Sarkozy a réussi à rassembler sa famille politique, créer une adhésion du peuple de droite et au-delà. C'est le meilleur d'entre nous. Personne ne le conteste. Et il met son leadership au service des Français, en France mais aussi en Europe et à l'international.

De l'Europe du non au leadership en temps de crise, de la France isolée sur la scène internationale à la France qui gère les crises géorgienne, libyenne ou encore ivoirienne, Nicolas Sarkozy est le président qui a redonné son rang à la France dans le monde.

François Hollande a bénéficié, c'est vrai, d'une rare union sacrée au PS. Comme si l'envie d'occuper les postes tant convoités était plus forte que tout!

Et on se les distribue depuis longtemps maintenant, comme si c'était fait, avec l'espoir qu'un président faible leur permettra d'exister. Exister, un défi trop grand pour François Hollande en Europe et sur la scène internationale. Lui qu'aucun des grands dirigeants européens n'a souhaité rencontrer. Lui pour qui la scène internationale s'est toujours limitée à l'Internationale socialiste.

Nicolas Sarkozy, c'est enfin un projet pragmatique et fort pour la France, face à un ensemble incohérent de propositions gadgets. Pour l'emploi, pour l'éducation, pour la fiscalité, pour l'assainissement des comptes publics, Nicolas Sarkozy affiche un même objectif: sortir les Français de la crise et relancer notre compétitivité.

C'est tout le sens de mesures comme le Buy European Act, le Small Business Act, la TVA anti-délocalisation, l'allégement des charges sur les bas salaires, les accords compétitivité-emploi, ou le développement de l'apprentissage chez les jeunes.

Du côté de François Hollande, on a eu droit à quelques propositions chocs pour satisfaire des clientèles électorales. Créer une tranche maximale d'impôt sur le revenu à 75%, vouloir inscrire la laïcité dans la Constitution alors qu'elle y est déjà inscrite, créer un Ministère dédié aux femmes qui de son propre aveu ne fera pas de lois, créer 60.000 postes de fonctionnaires dans l'Education nationale comme un remède-miracle au déclin de notre système éducatif, et ressortir les emplois-jeunes garants d'une précarité durable.

Mises bout à bout, ces propositions ne font que confirmer l'absence de vision de François Hollande.

* * *

L'enjeu de cette élection présidentielle dépasse les logiques partisanes.

C'est l'intérêt, la grandeur et l'avenir de la France qui sont en jeu, comme rarement avant.

Nous sommes à la croisée des chemins: la France peut continuer à progresser, comme elle peut rapidement décliner sans direction forte. La crédibilité est sans conteste du côté de Nicolas Sarkozy.

Le choix est loin d'être cornélien.

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PatrioteNS Falempin - dans Politique
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